Nos Étoiles Contraires
De John Green
Romance
Editions: Nathan
327 pages
Résumé:
Entre rire et larmes, le destin bouleversant de deux amoureux de la vie.
Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades.
C'est là qu'elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate.
Et malgré les réticences d'Hazel, qui a peur de s'impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d'amour commence... les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.
" - Tant qu'on ne l'allume pas, la cigarette ne tue pas, a-t-il déclaré, quand maman est arrivée à ma hauteur. Et je n'en ai jamais allumé une seule de ma vie. C'est une sorte de métaphore. Tu glisses le truc qui tue entre tes lèvres, mais tu ne lui donnes pas le pouvoir de te tuer. "
Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades.
C'est là qu'elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate.
Et malgré les réticences d'Hazel, qui a peur de s'impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d'amour commence... les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.
" - Tant qu'on ne l'allume pas, la cigarette ne tue pas, a-t-il déclaré, quand maman est arrivée à ma hauteur. Et je n'en ai jamais allumé une seule de ma vie. C'est une sorte de métaphore. Tu glisses le truc qui tue entre tes lèvres, mais tu ne lui donnes pas le pouvoir de te tuer. "
Mon avis: 15/20
J'attendais
beaucoup de ce livre. Il a été très apprécié par la blogosphère et je
n'ai entendu que du positif sur ce livre . Je m'attendais à être émue,
triste et même à quelques larmes ... Rien. Je n'ai rien ressenti de tout
cela. Bien sûr, l'histoire m'a touchée mais je m'attendais à ressentir
plus d'émotions.
En commençant cette lecture, j'ai essayé de rester neutre face aux avis
des blogueuses et de mon entourage mais je me suis vite aperçue que
cette lecture ne serait pas un coup de cœur. C'est une simple bonne
lecture remplie de joie, de tristesse et d'amour.
J'ai cependant apprécié la légèreté avec laquelle John Green traite le
cancer. Il y a beaucoup d'humour dans ce livre et je ne m'y attendait
pas. Le cancer n'occupe pas la première place, c'est l'amour. C'est pour
leur amour qu'Augustus et Hazel se battent, pas pour le cancer. Même si
la maladie est présente dans ce livre, on ne voit que cette belle
histoire d'amour.
La relation entre Hazel et Augustus est simple. Entre eux, il n'y a ni
maladie ni rémission, ni canule et ni prothèse. Il n'y a qu'eux. Eux et
cette envie de voir la vie comme une usine à souhaits. Ils savent que
c'est impossible mais ils gardent espoir car sans espoir, il n'y a rien.
Ils profitent de chaque instant ensemble car ils savent que ça ne peux
pas durer.
Quand on termine ce livre, qu'on l'ai apprécié ou pas, on prends le
temps de profiter de la vie. Malgré les hauts et les bas. On comprends
que plus la mort se rapproche, plus le temps passe vite. Que profiter du
moment présent est important.
"Comme
je ne peux pas parler de notre histoire d’amour, je vais parler de
maths. Je ne suis pas très forte en maths, mais je sais une chose : il
existe des nombres infinis entre 0 et 1. Il y a par exemple : 0,1 et
0,12 et 0,112 et tout une ribambelle d’autres nombres infinis.
Evidemment, l’ensemble de nombres infinis compris entre 0 et 2 ou 0 et 1
000 000 est beaucoup plus important que celui entre 0 et 1. Certains
infinis sont plus vastes que d’autres, nous a appris un écrivain qu’on
aimait bien, Augustus et moi. Il y a des jours, beaucoup de jours, où
j’enrage d’avoir un ensemble de nombres infinis aussi réduit. Je
voudrais plus de nombres que je n’ai de chances d’en avoir d’en avoir,
et pour Augustus Waters, j’aurais voulu tellement plus de nombres qu’il
n’en a eus. Mais, Gus, mon amour, je ne te dirais jamais assez combien
je te suis reconnaissante de notre petite infinité. Je ne l’échangerais
pas pour tout l’or du monde. Tu m’as offert une éternité dans un nombre
de jours limités, et j’en suis heureuse."
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